Saga : Les annales du Disque-Monde

Tome : 2

Titre français : Le huitième sortilège (1993)

Titre original : The Light Fantastic (1983)

Auteur : Terry Pratchett (Royaume-Uni)

Traducteur : Patrick Couton

Langue : française

Edition : L'Atalante

Résumé : Octogénaire, borgne, chauve et édenté, Cohen le Barbare, le plus grand héros de tous les temps réussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ? Question capitale, car le tissu même du temps et de l'espace est sur le point de passer dans l'essoreuse. Une étoile rouge menace de percuter le Disque-Monde et la survie de celui-ci est entre les mains du sorcier calamiteux : dans son esprit (très) brumeux se tapit en effet le... huitième sortilège ! La suite de l'épopée la plus démente de la Fantasy, avec, dans les seconds rôles, une distribution prestigieuse : le Bagage, l'In-Ocavo, Herrena la harpie, Kwartz le troll, Trymon l'enchanteur maléfique et, naturellement, la Mort...

Mon avis : 

Je poursuis ma lecture du cycle de Rincevent.

La dernière fois, j'avais donc quitté Rincevent et Deuxfleurs perdus dans l'espace, et c'est exactement à cet endroit qu'on les y retrouve, mais pas pour longtemps. Par on ne sait quel moyen – enfin on l'apprendra plus tard dans le livre – ces deux voyageurs sont de retour sur le disque dans une forêt et ils reprennent leur périple.

Cette fois, ils ont un but. Ils doivent empêcher une énorme étoile rouge de rentrer en collision avec la grande A'tuin. Leurs aventures sont plus loufoques les unes que les autres. J'ai plus apprécié ce tome que le premier, peut-être parce que maintenant je connais l'univers du disque. J'aime également les décors et l'environnement dans lequel on voyage.

Deuxfleurs est toujours aussi inconscient du danger. Rincevent s'énerve de plus en plus contre le sortilège. Un autre héros vient à leur secours : Cohen le Barbare. Il fait pas très sérieux quand il parle, mais il ne manque pas d'énergie. Une jeune femme se joint également à eux. Et bien sûr, la mort est toujours présent (ce n'est pas une faute, je rappelle que la mort est masculin dans l'histoire) ainsi que le coffre. La façon dont ses émotions nous sont révélées me plaît.

On en apprend un peu plus sur les mages, et ils ne sont pas du tout comme je les avais imaginés. Je pensais qu'ils représentaient la sagesse, tout comme les druides. J'apprécie davantage les trolls. J'aime bien les caractéristiques que l'auteur leur a donnés.

En somme, encore plus d'action et plus d'humour, avec une fin touchante.

Testez vos connaissances sur cette saga ici.

Lu dans le cadre du challenge # 11

Note : 15/20

De la même saga : 

Tome 1 : La huitième couleur

Tome 5 : Sourcellerie