Titre français : Vingt-quatre de la vie d'une femme (1929)

Titre original :  Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau (1927)

Auteur : Stefan Zweig (Autriche)

Traducteurs : Olivier Bournac et Alzir Hella

Langue : française

Edition : Le livre de poche

Résumé : Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée... Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez la fugitive. Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses plus incontestables réussites.

Mon avis : 

Pour découvrir la littérature autrichienne, j'ai pensé que ce serait bien de lire cet auteur, j'avais entendu beaucoup de bien de ces œuvres, et je n'ai pas été déçue.

C'est intéressant, très bien écrit, les descriptions sont parfaites, j'aime beaucoup les métaphores. C'est une histoire très simple, rien de compliqué : une vieille dame qui souhaite se confier. C'est toujours bon de pouvoir se livrer à quelqu'un sans être jugé.

Je ne suis pas sûre d'avoir bien compris ce qui s'était passé pendant la nuit à l'hôtel avec le jeune homme, mais j'ai apprécié la matinée qu'ils ont passé ensemble. J'ai trouvé ça vraiment – je ne sais pas trop comment dire – malheureux d'essayer de sauver quelqu'un en vain.

Une excellente lecture donc, je lirai d'autres de ses œuvres.

En prime, dans l'édition que j'ai lue, on a droit à une petite biographie de Stefan Zweig, un être bien dépressif qui ne croyait pas en son succès.

Lu dans le cadre des challenges # 6 et # 8

Note : 17/20