• Classique

  • AphroditeTitre français : Aphrodite (1896)

    Auteur : Pierre Louÿs (France)

    Langue : française

    Edition : Une œuvre du domaine public

    Résumé : Démétrios est sculpteur, séducteur, blasé. Chrysis est courtisane, séductrice, en chasse. Elle aime qu'un homme la suive " comme un chien "... Le sculpteur devient le jouet de la courtisane. Pour elle, il vole, tue, parjure. Mais toujours Chrysis se refuse à lui. Une nuit, Démétrios rêve qu'il possède cette femme. Dès lors, il tient sa vengeance, le destin de Chrysis est scellé...

     

     

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  • Orgueil et préjugésTitre français : Orgueil et préjugés (1821)

    Titre original : Pride and Prejudice (1813)

    Auteure : Jane Austen (Royaume-Uni)

    Traducteur : Pierre Gouvert

    Langue : française

    Edition : Folio

    Résumé : Orgueil et préjugés est le plus connu des six romans achevés de Jane Austen. Son histoire, sa question, est en apparence celle d'un mariage: l'héroïne, la vive et ironique Elizabeth Bennett qui n'est pas riche, aimera-t-elle le héros, le riche et orgueilleux Darcy ? Si oui, en sera-t-elle aimée ? Si oui encore, l'épousera-t-elle ? Mais il apparaît clairement qu'il n'y a en fait qu'un héros qui est l'héroïne, et que c'est par elle, en elle et pour elle que tout se passe.

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  • La sœurTitre français : La sœur (2011)

    Titre original : A nővér (1946)

    Auteur : Sándor Márai (Hongrie)

    Traducteur : Catherine Fay

    Langue : française

    Edition : Albin Michel

    Résumé : En 1939, un pianiste hongrois est hospitalisé à Florence, victime d'un mal mystérieux. Pendant trois mois, en proie à de grandes souffrances, il repense à la relation passionnelle qu'il entretient avec une femme mariée, tandis qu’au dehors la guerre se déchaîne. Réflexion subtile sur l'impuissance de l'artiste, l'amour instrument de vie et de mort, mais aussi sur le don de soi et la générosité qui sauve, La Sœur, écrit au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, est le dernier livre publié par Márai en Hongrie avant son exil. Toute la réussite du texte consiste dans ce combat d'un homme d'abord arrogant et sûr de lui, qui découvre dans la douleur les moyens de se comprendre, de se transformer, et de se guérir.

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  • Le bossuTitre français : Le bossu (1857)

    Auteur : Paul Féval (France)

    Langue : française

    Edition : Bibebook

    Résumé : Fin du XVIIème siècle et du règne de Louis XIV. Philippe de Nevers, ami de Philippe de Gonzague et du Régent Philippe d'Orléans, a épousé en secret la belle et riche Inès de Caylus. C'est un champion d'escrime, rendu invincible par une fameuse passe, la "botte de Nevers", dont tous les duellistes cherchent à percer le secret, mais dont un seul recevra l'enseignement : Lagardère, un jeune escrimeur qui a été engagé pour tuer Nevers et qui, le reconnaissant, s'est mis à son service. Nevers et Lagardère sont en route pour retrouver la belle Inès dans son château et assister au baptême de l'enfant qui est né de cette union, prénommée Aurore. Mais en arrivant au château, ils tombent sur un guet-apens tendu par Gonzague, qui convoite également la fortune et Inès de Caylus, et dans l'affrontement Nevers est tué, non sans avoir confié à Lagardère les papiers légitimant son mariage et l'enfant qui en est né, l'enfant à protéger, et le secret de sa botte, tandis que Gonzague enlève la belle Inès pour l'épouser à Paris. Cependant, Lagardère parvient à blesser Gonzague à la main, jurant que par ce moyen il le retrouverait et vengerait la mort de Nevers, son ami. C'est le fameux : "Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi !"

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  • La tulipe noireTitre français : La tulipe noire (1850)

    Auteur : Alexandre Dumas (France)

    Langue : française

    Edition : Une œuvre du domaine public

    Résumé : En 1672, Guillaume d'Orange prend le pouvoir en Hollande, profitant du massacre par le peuple des frères Jean et Corneille de Witt, accusés de tractations secrètes avec la France. Accusé à tort de trahison et condamné, le jeune Cornélius van Baerle (filleul de Corneille de Witt), continue de se livrer à sa passion des tulipes en essayant de créer une tulipe noire, dont la découverte sera récompensée par un prix de la société horticole de Harlem. Cet épisode tragique de la vie politique hollandaise sert de base à l'aventure de Cornélius, qui, depuis sa prison, va connaître deux histoires d'amour : l'une avec sa tulipe noire, supplantée petit à petit par celle avec Rosa, la fille de son geôlier.

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  • PersuasionTitre français : Persuasion (1821)

    Titre original : Persuasion (1818)

    Auteure : Jane Austen (Royaume-Uni)

    Traducteur : André Belamich

    Langue : française

    Edition : 10/18

    Résumé : Sous le vernis d'un genre, chacune des phrases de Jane Austen attaque les conventions, traque les ridicules, et finit avec une grâce exquise par pulvériser la morale bourgeoise, sans avoir l'air d'y toucher. Les héroïnes de Jane Austen lui ressemblent, elles aiment les potins mais détestent bavardages, grossièreté et vulgarité. La pudeur, le tact, la discrétion, l'humour sont les seules convenances qu'elles reconnaissent... Et si Jane Austen mène les jeunes filles au mariage, c'est fortes d'une telle indépendance qu'il faut souhaiter au mari d'être à la hauteur ! A lire yeux baissés et genoux serrés pour goûter en secret le délicieux plaisir de la transgression des interdits.

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  • Les Contes de CanterburyTitre français : Les Contes de Canterbury (----)

    Titre original : The Canterbury Tales (≈1380)

    Auteur : Geoffrey Chaucer (Royaume-Uni)

    Traducteur : André Crépin

    Langue : française

    Edition : Folio

    Résumé : Tout le monde connaît Les Contes de Canterbury, le titre au moins, peut-être un ou deux contes salaces. C'est mutiler cette vaste et diverse " Comédie humaine ". Elle ne prend vie et sens que par l'interaction des contes entre eux et de leurs différents conteurs. Provocations, méditations, gros rires et sourires émus, vers et prose s'entremêlent pour notre plaisir, et pour notre instruction. Ces Contes ont été rédigés autour de 1380. Un pèlerinage au tombeau de saint Thomas de Canterbury fournit aux voyageurs l'occasion de raconter des histoires, chacun en fonction de son caractère, de son sexe, de sa classe sociale. Voici enfin une traduction française, complète, lisible du chef-d'œuvre du poète anglais mort il y a tout juste six cents ans, notre contemporain par sa verve critique, son refus d'imposer une réponse unique et dogmatique aux nombreuses questions qu'il pose sur le pouvoir, l'argent, l'amour et le sexe, l'hypocrisie, la science, la marche du monde. Cette œuvre est trop peu connue en France, malgré le film de Pasolini, et mérite d'y rencontrer le plus grand succès.

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  • Le petit princeTitre français : Le petit prince (1943)

    Auteur : Antoine de Saint-Exupéry (France)

    Langue : française

    Edition : Folio

    Résumé : J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassé dans mon moteur. Et comme je n'avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile. C'était pour moi une question de vie ou de mort. J'avais à peine de l'eau à boire pour huit jours. Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait : ... " S'il vous plaît... dessine-moi un mouton ! "
    - Hein!
    - Dessine-moi un mouton...
    J'ai sauté sur mes pieds comme si j'avais été frappé par la foudre. J'ai bien frotté mes yeux. J'ai bien regardé. Et j'ai vu un petit bonhomme tout à fait extraordinaire qui me considérait gravement.

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  • Lettre d'une inconnueTitre français : La confusion des sentiments (1927)

    Titre original : Brief einer Unbekannten (1922)

    Auteur : Stefan Zweig (Autriche)

    Traducteurs : Olivier Bournac et Alzir Hella

    Langue : française

    Edition : Stock

    Résumé : Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d'une femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout. Avec Lettre d'une inconnue Stefan Zweig pousse plus loin encore l'analyse du sentiment amoureux et de ses ravages, en nous offrant un cri déchirant d'une profonde humanité. Ici nulle confusion des sentiments : la passion est absolue, sans concession, si pure qu'elle touche au sublime.

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  • Le portrait de Dorian GrayTitre français : Le portrait de Dorian Gray (1895)

    Titre original : The Picture of Dorian Gray (1891)

    Auteur : Oscar Wilde (Irlande)

    Traducteurs : Eugène Tardieu et Georges Maurevert

    Langue : française

    Edition : La bibliothèque du collectionneur

    Résumé : - Ainsi tu crois qu'il y a seulement Dieu qui voit les âmes, Basil ? Ecarte le rideau et tu verras la mienne. Il avait, prononcé ces mots d'une voix dure et cruelle. - Tu es fou, Dorian, ou tu joues, murmura Hallward en fronçant les sourcils. - Tu ne veux pas ? Alors, je vais le faire moi-même, dit le jeune homme qui arracha le rideau de sa tringle et le jeta par terre. Une exclamation d'horreur s'échappa des lèvres du peintre lorsqu'il vit dans la faible lumière le visage hideux qui lui souriait sur la toile. Il y avait quelque chose dans son expression qui le remplit de dégoût et de répugnance. Grands dieux ! C'était le visage de Dorian Gray qu'il regardait ! L'horreur, quelle qu'elle fût, n'avait pas encore entièrement ravagé sa stupéfiante beauté. Il restait encore des reflets d'or dans la chevelure qui s'éclaircissait et un peu de rouge sur la bouche sensuelle. Les yeux bouffis avaient gardé quelque chose de la beauté de leur bleu. Le contour des narines et le modelé du cou n'avaient pas encore perdu complètement la noblesse de leurs courbes. C'était bien Dorian. Mais qui avait peint ce tableau ? Il lui semblait reconnaître son coup de pinceau. Quant au cadre, il était de lui. C'était une idée monstrueuse et pourtant il eut peur. Il prit la chandelle allumée et la tint devant le portrait, Son nom figurait dans le coin gauche, tracé en longues lettres d'un vermillon brillant.

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